La médecine est malade

18.60 

tout comme notre société…

mais évitons de désespérer…

Par Bernard Christophe, diplômé d’état en pharmacie.

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Description

Bernard CHRISTOPHE nous a quittés brutalement. Il est parti rejoindre les étoiles.
Son sourire était celui de l’homme intègre, du chercheur et du découvreur qui aidait les malades de Lyme alors que la médecine officielle les traitait de façon infâme.

C’était le sourire du citoyen responsable qui s’était toujours comporté loyalement envers les “autorités” sanitaires de ce pays mais qui ne supportait plus l’abandon dans lequel elles laissaient les milliers de malades dans leurs souffrances et leurs difficultés. Ces autorités dont la responsabilité première était pourtant d’organiser la recherche, les soins, les droits de chacun…
Son intégrité assortie à sa recherche de justice et de réparations pour tous, l’aura porté à défendre les malades au-delà de ses forces et à se mettre en danger.

Avec son courage et sa compassion pleine d’humanité, il a tout fait pour que sa science soit au service des autres. Dès 2007, il a dénoncé au plus haut niveau les responsabilités des autorités sanitaires dans l’inefficacité des tests de dépistage conduisant à des diagnostics erronés et condamnant les malades à des traitements inappropriés et/ou à l’errance médicale. Il a défendu, preuves à l’appui, les résultats positifs obtenus dans le traitement du Lyme chronique par l’utilisation d’un complexe de sa fabrication à base d’huiles essentielles, non chimique, non brevetable. Ce faisant son produit échappait au pouvoir des multinationales et des laboratoires pharmaceutiques dont il dérangeait les experts. Cette accusation publique, franche et directe, leur a été insupportable, déclenchant enquêtes et harcèlement administratif qui visaient à détruire son activité professionnelle et à salir sa réputation. Le procès intenté contre lui en 2012, l’accusant d’actes illégaux et d’enrichissement personnel aux dépends de la société en a été le point d’orgue, s’appuyant sur l’incompétence médicale et scientifique des enquêteurs et des juges chargés d’instruire le dossier.

Jusqu’à une période récente, pour se débarrasser d’une personne gênante, les assassins avaient recours au poison, au poignard, au pistolet, méthodes plus ou moins violentes et visibles… On pouvait découvrir l’assassin, le confondre, l’accuser, le juger, le punir… Aujourd’hui, les méthodes sont discrètes… La violence à l’égard de la victime est insidieuse… Tout semble respecter la légalité…

En ce mois de décembre, face à l’injustice de l’accusation dont il était l’objet, par accumulation de stress et d’indignation, c’est le cœur de Bernard Christophe qui a cédé. Sa mort brutale restera pour nous comme un assassinat camouflé où les procédés des assassins ont pris le masque de la recherche de la vérité. Leurs auteurs se sont eux-mêmes frappés d’ignominie.

Bernard Christophe va rejoindre la cohorte de ceux qui ont raison trop tôt et que les tenants de l’orthodoxie brûlent sur les bûchers pour tenter de rester les maîtres. Il restera dans la mémoire des malades de Lyme comme celui qui tend sa main secourable et solide pour les sauver d’un inexorable destin.
Pour cette maladie de Lyme qu’il a combattue, il demeurera ce grand lanceur d’alerte qui, contre les obstacles mis sur sa route et contre l’injustice qui l’a finalement tué, a fait avancer la cause.

Informations complémentaires

Poids 350 g
Dimensions 24 × 16 × 2 cm

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